Network File System (NFS) est un protocole Internet standard et prend en charge les autorisations Linux natives et les attributs de système de fichiers. Les serveurs NFS exportent les répertoires et les clients NFS montent les répertoires exportés sur un point de montage local existant. Les clients NFS peuvent monter les répertoires exportés de plusieurs façons : Manuellement en utilisant la commande mount De façon persistante au démarrage en configurant des entrées dans le fichier /etc/fstab
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La création de volumes logiques se fait en plusieurs étapes. Ci-dessous un flux de travail de base pour utiliser LVM sous Linux. Création d’un stockage LVMPréparation des disquesCréez une nouvelle partition LVM avec fdisk : # fdisk /dev/vdb Créez une nouvelle partition LVM : n : créer une nouvelle partition type de partition : par défaut primaire, appuyez sur Enter numéro de partition : par défaut le prochain disponible, appuyez sur Enter premier secteur : appuyez sur Enter pour utiliser la va
LVM (Logical Volume Manager) permet de gérer l’espace de stockage de manière plus dynamique et flexible en utilisant les concepts de Physical Volumes, Volume Groups et Logical Volumes. L’avantages avec LVM est la possibilité de redimensionner des volumes sans arrêter les applications ni démonter les systèmes de fichiers, de déplacer des données entre des disques et d’ajouter facilement de nouveaux disques au pool de stockage. Péripheriques Physiques : disque, partitions, RAID, SAN PV (Physic
Le swap (espace d’échange) est une zone de stockage sur le disque dur utilisée par le système pour étendre la capacité de la mémoire vive (RAM). Lorsque la RAM atteint sa limite, le swap permet de déplacer temporairement des données moins utilisées vers le disque dur, libérant ainsi de l’espace en RAM pour les données actuellement nécessaires. Capacité recomandée RAM Swap Swap si hibernation ⩽ 2Go 2 x la RAM 3 x la RAM 2 Go - 8 Go = à la RAM 2 x la RAM 8 Go - 64 Go ⩾ 4 Go 1,5 x la RAM
Les commandes mount et unmount permettent monter et démonter un système de fichiers manuellement en utilisant soit le nom du périphérique dans /dev ou avec son UUID. Lister les périphériques disponiblesLa commande lsblk permet de lister les périphériques disponibles : # lsblk La commande lsblk avec les options -f et -p permet de lister les périphériques disponibles et d’afficher leurs UUID : # lsblk -fp Sortie de la commande : NAME FSTYPE FSVER LABEL UUID FSAVAIL FSUSE
Pour créer un système de fichier on utilise la commande mkfs. Créer un système de fichiersAfficher le types de système de fichiers : # lsblk# file /dev/sdX Monter un système de fichier : # mkfs.ext4 /dev/sdX1# mkfs.fat -F32 /dev/sdX1# mkfs.ntfs /dev/sdX1# mkfs.xfs /dev/sdX1# mkfs.btrfs /dev/sdX1 Afficher les types de système de fichiersPeut se faire avec lsblk -o NAME, FSTYPE et blkid : # lsblk -o NAME,FSTYPENAME FSTYPEsda├─sda1 vfat├─sda2 xfs└─sda3 LVM2_member ├
Pour patitionner un volume, on peut utiliser parted ou fdisk. À moins d’être expert·e parted il vaut mieux utiliser fdisk car les modifications restent en RAM avant la modification finale, alors que pour parted tout se valide au fur et à mesure et peut être compliqué en cas d’erreur. Partitionner un volumeOn veut partitionner un volume vdb. Affichage des informations sur les volumesListing des volumes disponibles : # lsblkNAME MAJ:MIN RM SIZE RO TYPE MOUNTPOINTSvda 252:0 0 10G 0 disk
Ordre pour créer un nouveau volume sur un système : 1 - Créer une partition2 - Créer un système de fichiers3 - Monter la partition OrdreCréer une partitionAfficher les informations des volumes : # lsblk # lsblk -fp # lsblk -fs Partitionner un volume, lire les instructions de l’aide # fdisk /dev/sdX Créer un système de fichiersAfficher le types de système de fichiers : # lsblk# file /dev/sdX Monter un système de fichier : # mkfs.ext4 /dev/sdX1# mkfs.fat -F32 /dev/sdX1# mkfs.ntfs /dev/sdX1
Vérifier la santé des disques, les commandes diffères en fontion d’un SSD et d’un NVME Disque Sata SSDLancer la commande badblock : # badblocks -vs /dev/sdX Si aucun block n’est deffecteux : Pass completed, 0 bad blocks found. (0/0/0 errors) Disque NVMEDans un raid avec pour nom de volume /dev/sdX et plusieurs disques n°Y.À savoir que smartctl compte à partir de zéro. Donc un disque sur le slot 4 du serveur, correspondra à un Y=3. Lancer la commande smartctl : # smartctl -t short -d <disque
Les disques SMART (Self-Monitoring, Analysis and Reporting Technology) disposent d’un système d’auto-surveillance. SMART permet de faire un diagnostic selon plusieurs indicateurs de fiabilité dans le but d’anticiper les erreurs. Smartmontools (SMART Monitoring Tools) est un ensemble de programmes utilitaires (smartctl et smartd) permettant de contrôler et de surveiller le stockage à l’aide du système de SMART qui est intégré à la plupart des disques (SATA, NVMe, SCSI, …) Fonctionnement de SMARTA
Excerpt from the manual of smartctl : smartctl is a command that control and Monitor Utility for SMART Disks : smartctl controls the Self-Monitoring, Analysis and Reporting Technology (SMART) system built into most ATA/SATA and SCSI/SAS hard drives and solid-state drives. The purpose of SMART is to monitor the reliability of the hard drive and predict drive failures, and to carry out different types of drive self-tests. When you use smartctl command, you can see a high rate of Elements in gro
autofs is a program for automatically mounting directories on an as-needed basis. Auto-mounts are mounted only as they are accessed, and are unmounted after a period of inactivity. Because of this, automounting NFS/Samba shares conserves bandwidth and offers better overall performance compared to static mounts via fstab. To avoid confusion, the following terminologies will be used: automount: the program used to configure a mount point for autofs. When autofs is started, an automount daemon is
L’utilisation de /etc/fstab peut affecter les performances d’un système lorsqu’il doit maintenir de nombreux points de montage. L’alternative à /etc/fstab est automount (basé noyau). Automounter se compose de : un module noyau : implémente un système de fichiers un daemon de l’espace utilisateur : effectue toutes les autres fonctions automountAutoFS contrôle les opérations des daemons automount. Les daemons automount montent automatiquement des systèmes de fichiers quand ils sont employés et
Pour monter un volume, on utilise la commande mount qui modifie le fichier /etc/fstab, ce fichier s’applique à chaque redemarrage de la machine. Si elle ne peut être éteinte, il faut forcer sa relecture pour que les changements puissent y être appliqués. Monter un volumeVolume localSimplement avec la commande mount ou en modifiant le fichier /etc/fstab pour le rendre permanent : # mount -t nfs /dev/sdd1 /mnt/mon/volume Sur du NetApp : # mount -t nfs aggregat25:/vol/volume /mnt/mon/volume Démont
Comment augmenter la capacité de stockage d’un volume sous NetApp. Vérification de l’occupation du volumeEn console, sur le serveur frontal d’accès au volume, avec la commande df : $ df -hP /home/Volume-Doctorants/Filesystem Size Used Avail Use% Mounted onaggregat1:/vol/vol_Volume-Doctorants 11T 11T 300G 98% /home/Volume-Doctorants NetappSur votre console Netapp, lancer les commandes suivantes : Lecture facilePour meilleur affichage : $ set -rows 0 Id